Ce projet a été inspiré par le désir de l’artiste de passer à l’action malgré son sentiment de grande impuissance face à la guerre entre l’Ukraine et la Russie. La murale a été imaginée pour laisser transparaître un sentiment d’inclusion pour les réfugiés qui se doivent de quitter leur pays natal.
Puisque la langue peut être une barrière, quoi de mieux que l’art visuel pour créer un pont entre les cultures. Ce projet coloré apporte un bouquet de couleurs dans le secteur Bas-du-Cap.
Ce projet a été possible grâce à la collaboration du Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap.
© Patricia Kramer, 2022. Photo : Olivier Croteau