Le projet Marmelade s’appuie sur la volonté de formaliser la façon dont le peuple Colombien représente métaphoriquement la corruption. En Colombie, « marmelade » est un mot souvent utilisé pour faire référence à la distribution corrompue du pouvoir politique. On observe dans le pays que ce pouvoir (« marmelade ») est conquis par certains individus qui le distribuent (« tartinent ») souvent de manière irrégulière.
Par sa pratique, Paolo Almario dévoile de manière poétique et métaphorique la complexité destructive d’une structure politique d’ailleurs (Colombie) pour inviter à la réflexion sur celle du territoire où l’exposition est présentée.
©Paolo Almario, 2019. Photo : Patrick Altman
Présentée dans le cadre des expositions parallèles de la 11e Biennale internationale d’estampe contemporaine de Trois-Rivières et grâce à l’appui financier de la Ville de Trois-Rivières et du ministère de la Culture et des Communications du Québec.
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