

Femmes de papier
Pour des milliers de Canadiens, la mention des pâtes et papiers évoque la mémoire du bûcheron exilé au cœur de la forêt boréale ou encore du papetier se rendant au travail, boîte à lunch à la main. Nos grands-pères nous ont mainte fois parlé du bruit ambiant à l’usine, de la chaleur des machines et de la nature exigeante du travail en shifts. Mais qu’en est-il de nos mères et de nos grand-mères? Femmes de papier propose un point de vue féminin sur une industrie essentiellement masculine.
Racines et identités
Vivez une rencontre unique entre l’homme et la machine à travers Racines et Identité, l’exposition permanente de Boréalis, qui se situe dans un véritable joyau architectural : l’ancienne usine de filtration de la Canadian International Paper. Forte d’une histoire plus que centenaire, l’industrie papetière y dévoile ses multiples facettes à travers des thématiques telles que l’exploitation forestière, l’omniprésence de l’eau, le travail en usine, les bûcherons et les draveurs, et la construction des quartiers ouvriers. Un retour aux côtés des grands travailleurs du passé pour comprendre les défis futurs de cette grande industrie!
L'espace mémoire
Au coeur de l’exposition permanente du musée, l’Espace mémoire présente, sous forme de court et moyen métrage documentaire, les différents témoignages qu’a accumulés Boréalis au fil des ans. Chaque année, un thème différent vous est proposé. En 2018, l’Espace mémoire vous présente le court métrage L’ère du gros lard.
MP10 - Une machine en transformation
25 février 2017. Après avoir produit 16 millions de kilomètres de papier journal, la machine à papier n° 10 de Kruger cesse de fonctionner. Au cours des prochains mois, toutes les énergies seront concentrées afin d’écrire un nouveau chapitre dans l’histoire papetière trifluvienne : celle du papier cartonné.
Mémoires d'ouvriers
Il y a 10 ans, le paysage de la capitale mondiale du papier journal changeait à jamais, alors que l’on achevait le démantèlement de la Canadian International Paper (CIP). Bien que la papetière soit passée sous le pic des démolisseurs, son histoire est toujours vivante grâce à la mémoire des ouvriers qui y ont travaillé, ainsi qu’à Boréalis qui met en valeur l’industrie des pâtes et papiers trifluvienne.